La pandémie de grippe espagnole a duré de 1918 à 1921 et a connu vagues et mutations. Cent ans plus tard, la pandémie de COVID-19 connait également son lot de vagues et de mutations. Distrayons-nous à observer des similitudes, mais aussi des différences.

Pour les intervenants d’alors, les vêtements de protection d’aujourd’hui leur aur

aient semblé sortis de l’imagination de l’auteur d’un roman de science-fiction.

 

 

 

 

 

 

 

Tous les membres de la famille doivent porter le masque… même le chat n’y échappe pas. Si au début l’arc-en-ciel était signe d’espoir d’aller mieux, la grand-maman d’alors offrait des fleurs des champs.

 

 

 

 

 

Heureusement, ce qui n’a pas changé est le dévouement, la bienveillance, l’endurance, la détermination et le courage du personnel hospitalier et des intervenants de première ligne. Avouons que nos infirmières d’aujourd’hui sont plus attrayantes!

 

Une différence de 44,5 millions de morts

On écrit que la grippe espagnole a causé la mort de plus de 50 millions de personnes dans le monde, soit environ 5 % de l’humanité. En comparaison, aujourd’hui, la COVID-19 en réclame 5,5 millions. La collaboration des laboratoires de recherche partout dans le monde a permis aux scientifiques de rapidement mettre au point des vaccins qui ont réduit le nombre de morts causées par le virus de 44,5 millions. Une première dans le monde médical moderne. Continuons de nous protéger pour qu’un jour cette pandémie ne soit plus qu’un mauvais souvenir pour nous et un triste sujet pour les livres d’Histoire.