Samedi 20 août 2022, à la Bibliothèque de Saint-Hippolyte, nous étions une bonne quarantaine à célébrer ! À applaudir Jean-Pierre Fabien, qui, par sa poésie, donne Vie et agrandit la nôtre. Plus qu’un lancement, ce samedi 20 août a été une expérience humaine. Ensemble, nous nous sommes rencontrés, découverts. Le recueil, Je pars te découvrir, ne prenait pas seulement son envol, mais réveillait en nous le goût d’aller vers de nouveaux rivages.
Comme un cadeau
Poète-écologue, Jean-Pierre Fabien est l’artisan de ce merveilleux recueil. Il l’a déposé dans nos mains comme un bijou, un cadeau. Je suis témoin. C’en est un ! Jean-Simon, son fils, le confirme dans sa préface. Il écrit : « Partir à ta découverte, peu importe le contexte, donne assurément un sixième sens, une approche renouvelée, plus vrai, plus proche de soi, de toi. N’est-ce pas un cadeau que de recevoir un tel souffle d’un auteur »
Parents, collègues et amis
Diane Couët, aquarelliste, met ce bijou en évidence. Avec sa plume au langage d’encre et de couleurs, elle accompagne l’auteur dans l’émotion et sa vision de l’invisible. Comme Jean-Pierre dans ce recueil, elle « perçoit les lueurs poétiques » d’un état d’âme, d’un paysage ou d’une découverte. Quelle cohérence ! Ils font la paire comme le jour et la nuit, le soleil et la pluie ! Daniel Fabien, son frère qui, de découverte en découverte, est devenu aussi son meilleur ami, nous a offert une vibrante lecture du poème Le Soleil sera là demain. Passage de luttes et de survie pour l’auteur.
Parents, amis, collègues, voisins, liens nouveaux et liens anciens, unanimement tous confirment que la poésie de Jean-Pierre Fabien ne se retrouve pas que dans ses écrits À fleur de terre et Je pars te découvrir, mais aussi en toute authenticité dans ses liens tissés au fil du temps. Jean-Simon, dès les premières lignes de ce recueil, nous le dit clairement « Je pars te découvrir. C’est une phrase d’action, mais une phrase qui implique de l’écoute, de l’ouverture, de l’engagement ». Des mots qui disent tout de la trace laissée par l’auteur, son père, dans ce petit livre de quatre-vingt-huit pages. Ce samedi 20 août, nous avions tous envie de devenir des poètes-écologues ! Là, je parle pour les autres, mais à sentir l’atmosphère et entendre les témoignages, on n’était pas loin de ça.
