« J’ai vécu plusieurs facettes du rôle d’administrateur en milieu paroissial, avance humblement notre invisible remarquable du mois de septembre. Toujours, je n’ai cherché qu’à aider et servir! »
Notre personnalité à découvrir du mois est natif de Montréal. Il a commencé sa vie adulte en faisant toutes sortes d’emplois au début de sa carrière. En 1970, il suit des cours qui lui permettent de devenir évaluateur immobilier. Ce travail l’appelle à se déplacer continuellement dans de nombreuses régions du Grand Montréal. « Au début de ma carrière comme évaluateur, les routes étaient moins encombrées. La construction des nombreuses autoroutes qui sillonnent le Grand Montréal facilitait grandement la fluidité de la circulation. Mais, ces accès ont aussi étendu le tissu immobilier et, pour mon travail, je devais donc parcourir de grandes distances ».
Laval avant Saint-Hippolyte
« Pour faciliter mes déplacements, nous nous sommes installés à Laval. Avec les autoroutes, c’était pratiquement au centre des lieux où je me rendais fréquemment. Notre petite famille, composée alors de quatre enfants, jouissait de tous les services à proximité et dans l’ambiance paisible de la banlieue. Nous y sommes restés 15 ans. Puis, durant ces années, les enfants ont grandi et ont quitté le nid familial. Mes enfants sont installés à Vancouver, Montréal et Saint-Jérôme. Malheureusement, une de mes filles est décédée en 1992. Cette mort a bouleversé plus d’une vie! »
Saint-Hippolyte sur la route
En 1988, bien qu’il soit encore au travail, il s’installe à Saint-Hippolyte au lac Connelly, dans la partie sud. Ainsi, chaque matin il quitte ce coin de « paradis », comme il dit, pour avoir hâte d’y revenir le soir. « J’apprécie tellement l’atmosphère paisible et réconfortante que l’on peut y vivre. Moi, je suis un grand amateur de chasse et de pêche. Lors d’excursions, j’ai chassé et pêché au barrage Gouin, La Tuque et aussi loin que sur la Côte-Nord pour y vivre de bons moments. Je peux dire que j’ai quelques exploits de pêche, à mon actif! »
Actif
Invisible, mais indispensable, notre personnalité s’est impliquée dans des organisations hippolytoises, question de socialiser et d’aider. Il a été membre de l’Association des propriétaires et amis du lac Connelly. « J’y ai bien aimé l’atmosphère et les gens qui y participaient.» Puis, pratiquant et fréquentant les offices religieux à Saint-Albert-le-Grand, en 2003, il a été approché par Michael Cimone, personne très impliquée dans cette chapelle, pour devenir administrateur-marguillier. « C’était pour moi un nouveau défi que j’ai accepté avec joie. »
À deux, c’est mieux
« Vous savez, on parle de moi, mais c’est surtout ma conjointe, Simone qui a réalisé les plus grandes choses dans cette chapelle! Elle en est l’âme! Elle y a joué les rôles de comptable, sacristine et concierge. Chaque semaine elle voyait à l’entretien des vêtements et accessoires pour le service au culte et à l’entretien des lieux. De plus, lorsqu’il était question d’activités et de tirages, les paroissiens et citoyens s’adressaient très souvent à elle.»
De Saint-Albert à Saint-Hippolyte
Durant plusieurs années, des messes furent célébrées toute l’année à la chapelle de Saint-Albert, mais il arriva un moment où le nombre de participants ne les justifiait plus. En 2007, au moment de la fusion des lieux de culte, il a été approché comme marguillier pour l’église paroissiale. « Flatté d’être reconnu dans ce bénévolat, j’ai accepté et dès 2010, les membres de l’Assemblée m’accordaient le rôle de président. »
Des défis de toutes sortes
« Durant les dix années de ce mandat qui se termine, nous avons vécu toutes sortes de défis. Le plus grand, et c’est encore le cas aujourd’hui, est la baisse de la fréquentation. Cette situation entraine beaucoup de conséquences: des revenus qui baissent, moins de personnes disponibles et volontaires pour y remplir des fonctions en lien avec le service à l’église et donc moins d’activités qui rendent ce milieu vivant et présent dans la communauté. Aujourd’hui, il faut donc être inventif et chercher des moyens novateurs pour combler ces manquements! Ainsi, régulièrement, pour obtenir des revenus, la paroisse organise la vente de billet de tirage, la location de locaux au presbytère et des recherches de subventions. Ce fut le cas pour la fosse septique. Sans une subvention de la MRC, rien n’aurait pu être possible! »
L’avenir
« Vous savez, à 84 ans, bien que je sois encore en bonne santé, je compte ralentir mes implications communautaires. J’ai donné, j’ai servi, j’en suis heureux et fier! Je vais maintenant observer d’un peu plus loin les situations et prendre le temps de regarder
la belle nature autour de moi. »
Notre invisibles indispensables : François Fournier.
De St-Albert à St-Hippolyte…servir !
François Fournier est natif de Montréal. Il a commencé sa vie adulte en faisant toutes sortes d’emplois au début de sa carrière. En 1970, il suit des cours qui lui permettent de devenir évaluateur immobilier. Ce travail l’appelle à se déplacer continuellement dans de nombreuses régions du Grand Montréal. « Au début de ma carrière comme évaluateur, les routes étaient moins encombrées. La construction des nombreuses autoroutes qui sillonnent le Grand Montréal facilitait grandement la fluidité de la circulation. Mais, ces accès ont aussi étendu le tissu immobilier et, pour mon travail, je devais donc parcourir de grandes distances.
« Pour faciliter mes déplacements, nous nous sommes installés à Laval. Avec les autoroutes, c’était pratiquement au centre des lieux où je me rendais fréquemment. Notre petite famille, composée alors de quatre enfants, jouissait de tous les services à proximité et dans l’ambiance paisible de la banlieue. Nous y sommes restés 15 ans. Puis, durant ces années, les enfants ont grandi et ont quitté le nid familial. Mes enfants sont installés à Vancouver, Montréal et Saint-Jérôme. Malheureusement, une de mes filles est décédée en 1992. Cette mort a bouleversé plus d’une vie ! »
En 1988, bien que monsieur Fournier soit encore au travail, il s’installe à Saint-Hippolyte au lac Connelly, dans la partie sud. Ainsi, chaque matin il quitte ce coin de « paradis », comme il dit, pour avoir hâte d’y revenir le soir. « J’apprécie tellement l’atmosphère paisible et réconfortant que l’on peut y vivre. Moi, je suis un grand amateur de chasse et de pêche. Lors d’excursions, j’ai chassé et pêché au barrage Gouin, La Tuque et aussi loin que sur la Côte-Nord pour y vivre des bons moments. Je peux dire que j’ai quelques exploits de pêche, à mon actif ! »
Actifs, monsieur Fournier s’est impliqué dans des organisations hippolytoises, questions de socialiser et d’aider. Il a été membre de l’Association des propriétaires et amis du lac Connelly. « J’y ai bien aimé l’atmosphère et les gens qui y participaient.» Puis, pratiquant et fréquentant les offices religieux à Saint-Albert-le-Grand, en 2003, il a été approché par Michael Cimone, personne très impliquée dans cette chapelle pour devenir administrateurs-marguilliers. « C’était pour moi un nouveau défi que j’ai accepté avec joie. »
À deux, c’est mieux
« Vous savez, on parle de moi mais c’est surtout ma conjointe, Simone Arcand, qui a réalisé les plus grandes choses dans cette chapelle ! Elle en est l’âme! Elle y a joué les rôles de comptable, sacristine et concierge. Chaque semaine elle voyait à l’entretien des vêtements et accessoires pour le service au culte et à l’entretien des lieux. De plus, lorsqu’il était question d’activités et de tirages, les paroissiens et citoyens s’adressaient très souvent à elle.»
De St-Albert à St-Hippolyte
Durant plusieurs années des messes furent célébrées toute l’année à la chapelle de Saint-Albert, mais il arriva un moment où le nombre de participants ne le justifiait plus. En 2007, au moment de la fusion des lieux de culte, monsieur Fournier a été approché comme marguillier pour l’église paroissiale. « Flatté d’être reconnu dans ce bénévolat, j’ai accepté et dès 2010, les membres de l’Assemblée m’y accordaient le rôle de président. »
Des défis de toutes sortes
« Durant les dix années de ce mandat qui se termine, nous avons vécu toutes sortes de défis. Le plus grand et c’est encore le cas, aujourd’hui, est la baisse de la fréquentation. Cette situation enchaîne beaucoup de conséquences: des revenus qui baissent, moins de personnes disponibles et volontaires pour y remplir les fonctions en lien avec le service à l’église et donc moins d’activités qui rendent ce milieu vivant et présent dans la communauté. Aujourd’hui, il faut donc être inventif et chercher des moyens novateurs pour combler ces manquements !» Ainsi, régulièrement, pour obtenir des revenus, la paroisse organise la vente de billets de tirage, de location de locaux au presbytère et de recherches de subventions. Ce fut le cas pour la fausse sceptique, sans une subvention de la MRC, rien n’aurait pu être possible !
L’avenir
« Vous savez, à 84 ans, bien que je sois encore en bonne santé, je compte ralentir mes implications communautaires. J’ai donné, j’ai servi, j’en suis heureux et fier ! Je vais maintenant observer d’un peu plus loin les situations et la belle nature, autour de moi. »