Adieu à ma chronique du Bonheur

Les débuts et les fins.

Y’en a qui préfèrent les débuts, d’autres, les fins.

 

Les débuts se vivent pour certains comme un jour qui se lève, un nouveau départ, une page blanche à écrire, une opportunité… une naissance! D’autres se représentent les débuts comme une angoisse, un espace vide à remplir, un défi à réussir, une responsabilité à endosser, une promesse à tenir… Des contractions plutôt ardues devant un commencement!

 

Au même titre que certains vivent les fins comme un espace bien investi entre deux parenthèses, un projet qui se boucle ou un bonheur que le temporaire existe! D’autres ressentent les fins comme une perte, une peine, une douleur, un deuil; parfois comme une colère, une injustice, une impuissance! Personnellement, j’aime bien retenir que dans chacune de nos pertes y’a des gains!

 

Une fin ou un début ?

Une longue introduction pour vous dire que c’est la dernière de ma chronique Il est où le bonheur, il est où ? Est-ce que la fin de cette chronique annonce un nouveau départ, un nouveau sujet ? En vérité, je suis entre les deux possibilités. Est-ce la difficulté de terminer cette aventure qui me fait parler ainsi, ou que tout simplement, comme Jacques Savoy, auteur que j’aime, qui m’a déjà dit un jour : « Pour écrire, faut avoir quelque chose à dire! » Voilà, où j’en suis : à réfléchir! Il est où mon bonheur ? Il est là… et a toujours été là! À partager avec Vous, à vouloir rendre visible le merveilleux d’une croissance, d’une traversée ou d’un naufrage évité.

 

Merci d’avoir été là

Il est où le Bonheur ? Il est où mon bonheur en ce moment ? Reconnaissance, merci, merci… J’ai ces mots qui me viennent en rafale dans la tête et au cœur en ce moment. Je suis pleine de reconnaissance. Merci à Vous, lecteurs. Merci à Vous, extraordinaires membres de ce Journal. Voyez-vous là, je le ressens le bouleversement du départ! Il est où le bonheur, dans des cas comme ceux-là ? En ce moment, il est dans ce pouvoir de ressentir les choses, de les identifier, de vous les partager et potentiellement de donner des ailes à mon agir. Peut-être à ma décision concernant ma future collaboration à ce Journal ?

 

Reconnaissance

Reconnaissance, merci, merci… Comme vous voyez, j’ai aussi le manque du mot. Merci à tous ceux et celles qui parfois avec mes mots ou les leurs, sont venus dévoiler, en toute franchise, leurs émotions, leurs luttes et leurs victoires. Oui! J’affirme qu’il est là le Bonheur! En ce moment précis, pour moi, le bonheur il est dans la générosité de tous ceux et de toutes celles qui m’ont permis de venir jusqu’à Vous. Il est dans votre générosité chers lecteurs qui avez pris le temps de me lire et de me faire savoir que vous étiez là.

 

Sachez que…

Sachez que sans votre confiance,

Sachez que sans vos confidences des temps gris,

Jamais, je n’aurais écrit.

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